4 janvier 2016
EN GUISE DE VŒUX (comme disait le Duc)
Albert Camus concluait superbement et paradoxalement : Il faut imaginer Sisyphe heureux. Il est vrai que les années qui se suivent sont difficiles à rouler et que, quand c'est fini, on est néanmoins content de recommencer. Mais semble-t-il, il avait tort de trop viriliser l'assertion. Apparemment, il faut aussi imaginer Sisyphe heureuse!
Bonne année 2016 à la foule très dénombrable de mes lecteurs occasionnels.
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