Leçons finkielkraltiennes (VI)
La lecture de Finkielkraut relative au premier roman de Kundera, La Plaisanterie (Zert, paraît-il, en tchèque), est mise en ligne sur AutreMonde.
La besogne avance, pas à pas, sur ce Coeur intelligent. Mais ma foi, le pensum n'en est pas vraiment un.
Et force est par ailleurs de constater que c'est, au delà des lectures-relectures imposées, un auto-portrait de Finkielkraut qui se dessine, au fil de ses commentaires critiques. Très meurtri par l'époque à travers , qui sait, son propre parcours, qui affleure ici, à propos de Kundera, dans ses prémices. Il faudra, quand les neuf lectures-relectures seront bouclées, tâcher de ne pas oublier, pour le bilan, cette dimension.
Autre chose: Antoine Compagnon publie un essai sur (?), une biographie de (?) - je n'ai pas encore vu le livre - Bernard Faÿ (1920-1978), professeur de littérature à Columbia, puis au Collège de France . Tiens, tiens ... (?)
"Le cas Bernard Faÿ. Du Collège de France à l'indignité nationale". Gallimard. 21 euros. Aller lire, peut-être et puis, en parler? Nous verrons.